Cryptographie : système RSA M.Bigarré, D.Leroy, L.Valat Résumé : on étudie la cryptographie par l'intermédiaire du système RSA. On en propose une réalisation en Mathematica, avec quelques applications à titre d'illustration et de test. Abstract : writing in cipher is investigated from the RSA system point of view. A Mathematica implementation is put forward, with a few applications as

est répartit sur 6 chapitres qui commenceront par une présentation général de la cryptographie, suivie d’une explication sur le RSA, son histoire, ses usages. Ensuite il décrira l’ensemble des compléments mathématiques nécessaire à sa réalisation puis il abordera les étapes de développement du logiciel de tchat. Ce rapport fera 1.2 RSA 1.2.1 RSA en pratique RSA est un cryptosyst`eme a cl´e publique : les messages sont encod´es avec une cl´e publique mais seule la cl´e priv´ee permet de d´ecoder le message. Si M est le message, E d´esigne la fonction d’encodage et D celle de d´ecodage, on a : E et D sont des fonctions inverses c’est a dire M = D(E(M)) = E(D appel e RSA. Ce cryptosyst eme est devenu le plus r epandu dans le monde car il est facile a r ealiser mais tr es di cile a casser. En e et, sa s ecurit e repose sur l’un des probl emes les plus di ciles en math ematiques : la factorisation des grand nombres. Dans ce travail, nous introduisons les principes g en eraux du cryptosyst eme RSA RSA assurerait quand même une sécurité à 99,8% Si la proportion est réduite, cela compromet néanmoins la fiabilité du commerce sur internet, d'autant plus que des millions d'achats se font Il est donc évident que la sécurité du RSA repose sur la difficulté de factoriser de grands entiers ; car il est simple, pour garantir une grande sécurité, de choisir de plus grandes clefs (par exemple de 1024 ou 2048 bits). Malheureusement on ne peut pas affirmer que cette simple protection suffise, car la constante amélioration des ordinateurs et des algorithmes de factorisation

Rappels Chiffrementàclépublique Cryptosystème RSA AncaNitulescu anca.nitulescu@ens.fr Ecole Normale Supérieure, Paris Cours3 1/25 AncaNitulescuanca.nitulescu@ens.fr Introductionàlacryptographie

Il est donc évident que la sécurité du RSA repose sur la difficulté de factoriser de grands entiers ; car il est simple, pour garantir une grande sécurité, de choisir de plus grandes clefs (par exemple de 1024 ou 2048 bits). Malheureusement on ne peut pas affirmer que cette simple protection suffise, car la constante amélioration des ordinateurs et des algorithmes de factorisation Elle repose sur les résultats d'arithmétique suivants que vous admettrez : Résultat 1 p et q sont deux nombres premiers distincts et n = pq. e est un entier compris entre 2 et (p – 1)(q – 1) – 1 et premier avec (p – 1)(q – 1) Alors, il exist Étymologiquement, la cryptologie est la science (λόγος) du secret (κρυπτός) . Elle réunit la cryptographie (« écriture secrète ») et la cryptanalyse (étude des attaques contre les mécanismes de cryptographie).

V. Utilisations de la cryptographie. 5.1 Les cartes bancaires; 5.2 Les navigateurs Web; 1. Les cartes bancaires . Les banques font partie des premiers utilisateurs de systèmes cryptographies. Les cartes bancaires possèdent trois niveaux de sécurité : Le code confidentiel : c'est la suite de chiffres à mémoriser et à saisir à l'abri des regards indiscrets. La signature RSA : permet de

05/06/2012 · Dans le cadre d'un projet, je dois programmer l'algorithme de cryptographie du RSA. Pour cela, il faut générer un entier d premier avec m = (p-1)(q-1) où p et q sont premiers. J'utilise des nombres premiers d'assez grande taille (150 chiffres), et je voulais savoir si le nombre d à générer devait être de taille voisine à 150 ou si celle La cryptographie moderne repose maintenant uniquement sur les mathématiques. De plus, les règles de base sont : l'algorithme utilisé n'est pas secret. Il peut être diffusé librement, cela ne doit avoir aucun impact sur la facilité ou non à déchiffrer le message ; la clé de chiffrage utilisée est secrète.